CINQUANTIÈME ANNIVERSAIRE DE CONVERSION (1975-2025) – « UN PETIT DÉBUT DE VIE ÉTERNELLE » SUPPLÉMENT THÉMATIQUE : QUELQUES THÈMES MARQUANTS (B) 3. Théisme biblique et autres approches sur l’omniprésence divine

 

ANNÉE JUBILAIRE

 POUR LA PINARDIÈRE

 


CINQUANTIÈME ANNIVERSAIRE DE CONVERSION (1975-2025)

– « UN PETIT DÉBUT DE VIE 

                                                ÉTERNELLE »

 

SUPPLÉMENT THÉMATIQUE : QUELQUES THÈMES MARQUANTS (B)

3.     Théisme biblique et autres approches sur l’omniprésence divine




Depuis mon adolescence, la nature a suscité mon admiration. Je suis allé d’innombrables fois au Jardin botanique de Montréal, car mon défunt père a été fleuriste toute sa vie, et m’y amenait, soit dans ma tendre enfance (dans les années 60), et même avec mon épouse et mes fils (dans les années 80 et 90). Toutefois, c’est la nature sauvage qui a


toujours suscité en moi un intérêt et un émerveillement accrus.  Or, quand en septembre 1975, j’ai découvert le Créateur et sa révélation biblique, j’ai été fasciné par la beauté de la création, ayant escaladé le Mont Orford, le 20 septembre, au tout début de ma vie nouvelle avec le Christ.


L’enseignement biblique relatif à la relation du rapport de Dieu avec l’univers, entre le Créateur et sa création, a occupé ma réflexion au cours de mes 50 années de vie croyante. Dans la présente section, je vais tenter de résumer les principales approches qui tentent d’expliquer ce rapport en soulignant leurs distinctions, les unes par rapport aux autres, puis finalement montrer en quoi le théisme biblique vient répondre de manière adéquate à notre questionnement sur la relation entre Dieu et l’univers.

Ce survol n’est que sommaire et ne constitue d’aucune façon un traitement détaillé de chaque approche.

 

v Le monisme

Le terme « monisme » renvoie à ce système de pensée qui réduit toute la réalité en une seule « substance », contrairement au dualisme qui oppose, dans le monde, deux principes (nature et esprit, bien et mal, Ying et Yang, etc.). Il y a des monismes matérialistes et des monismes panthéistes [1].

 

o   Le monisme matérialiste

Le terme « matérialisme » est utilisé la plupart du temps , dans le langage de tous les jours, pour renvoyer à l’attachement aux choses matérielles. On appelle cela le matérialisme pratique, rattaché à l’éthique. Ici je vais utiliser le terme « matérialisme » au sens philosophique. Le matérialisme philosophique affirme que la réalité se résume à la matière[2]. Il s’agit d’une sorte de monisme où la réalité n’est réduite qu’à ce qui est matériel. Il n’y a aucune réalité spirituelle ou transcendante. Cette philosophie se rapproche d’autres courants connexes : à savoir le positivisme[3], l’atomisme[4], le naturalisme[5] et l’athéisme[6]. Dites-moi, y a-t-il place à l’émerveillement avec une philosophie matérialiste, positiviste, atomiste et athée? Je ne crois pas. Avec la popularisation de ces philosophies réductionnistes au cours des derniers siècles, on a assisté au « désenchantement du monde[7] », c’est-à-dire, qu’il n’y a plus de place à l’intervention du surnaturel, du transcendant. Le monde est devenu un « système clos » comme l’exprimait le philosophe Francis A. Schaeffer[8].

 

o   Le monisme panthéiste

Le second type principal de monisme est rattaché au panthéisme. Le panthéisme est cette vision du monde où la réalité est conçue comme étant une, mais non pas comme matière, mais comme esprit. Tout est Dieu, rien n’existe en dehors de lui. Tout ce qui existe est Dieu[9] et si autre chose semble exister[10], alors c’est une illusion[11]. Il ne faut pas faire de distinction, car toutes choses sont fondamentalement « une ». Il n’y a aucune distinction entre Dieu et le monde. Nous savons que, depuis les années 60, avec l’influence de la mondialisation et des échanges culturels, les religions orientales ont été diffusées en occident (méditation transcendantale, bouddhisme, etc.), et la vision du monde que véhiculent celles-ci ainsi que les médecines douces et pratiques psychocorporelles (yoga, méditation).

 

 

v Le dualisme

Le « dualisme » se définit comme un système religieux ou philosophique qui a recours à « deux principes hétérogènes [12]». À la base, la philosophie de Platon en Grèce était dualiste ainsi que celle d’Aristote. Le taoïsme chinois est dualiste (Ying-Yang), tout comme le mazdéisme (religion ancienne de la Perse) avec l’opposition fondamentale des principes du bien et du mal qui fonde sa cosmologie. Des éléments dualistes se retrouvent aussi dans l’hindouisme. Le mouvement gnostique était une hérésie issue du christianisme. Ses adeptes étaient dualistes, et opposaient l’esprit et la matière.

 

v L’animisme

Un autre type religieux est caractérisé par une divinisation de chaque aspect de la nature. Chaque élément de la nature est habité par une âme (lat. anima), un esprit. De là, le terme « animisme ». L’animisme sera sous-jacent au chamanisme, au fétichisme, au vaudou et aux autres religions autochtones, avec leurs colorations locales, sur chaque continent. Selon cette spiritualité, l’esprit des différents êtres est invoqué en raison des pouvoirs qu’on lui attribue.

 

v Le déisme

Une autre approche religieuse est celle du déisme. Le déisme s’est développé principalement vers la fin du 17e siècle sous l’impulsion du rationalisme [13]. Il ne faut pas confondre « déisme » et « théisme ». Le déisme enseigne que Dieu a donné l’existence à l’univers, mais qu’il n’intervient pas dans son fonctionnement, contrairement au théisme qui enseigne que Dieu intervient dans sa création après lui avoir donné l’existence (la doctrine de la providence). Ainsi, dans le déisme, est accentuée la transcendance de Dieu le fait qu’il est au-dessus de la création – au détriment de son immanence (Dieu dans la création). Par contre, il est présent dans sa création par les lois qu’il a établies. Il s’agit d’un accent différent de celui du panthéisme. Alors que le panthéisme ne distingue pas Dieu de sa création, le déisme exacerbe la distance entre Dieu et sa création. En fait, cette distance est une séparation.

 

v Le théisme biblique et l’omniprésence divine

Je viens de présenter 4 approches principales quant à la relation de Dieu avec le monde : le monisme, le dualisme, l’animisme et le déisme. D’autres approches auraient pu être incluses (polythéisme, panenthéisme, etc.), mais il semble suffisant d’avoir explicité celles-ci.

L’approche que je préconise et sur laquelle je veux me concentrer, c’est celle du théisme


biblique. Le terme « théisme » se définit[14] comme l’approche biblique selon laquelle Dieu est le Créateur du cosmos (l’univers et son contenu), et il lui est transcendant et immanent. Il est un Dieu personnel, en ce sens qu’il est doué de personnalité. Comme le disait Francis A. Schaeffer, Dieu est infini et personnel, voire tripersonnel. Pour moi, le théisme biblique s’exprime le mieux par ce qu’on appelle le « théisme classique[15] » ou « théisme réformé[16] ».

Dire que Dieu est transcendant, par rapport à la création, c’est affirmer qu’il est si grand qu’il est au-delà de la création : il est « plus grand[17] » que celle-ci.

 

Mais quoi! Dieu habiterait-il véritablement avec l’homme sur la terre?

Voici, les cieux et les cieux des cieux ne peuvent te contenir :

combien moins cette maison que j’ai bâtie!

 (2 Ch 6.18)

Dieu n’est ni confiné à sa création, non plus qu’il n’en est exclu[18]; il en est aussi indépendant, en ce sens qu’il ne dépend pas de la création pour son existence, sa subsistance et son bonheur.  

D’autre part, Dieu est immanent à la création, c’est-à-dire qu’il est aussi présent dans sa création, il est « avec nous ». Ainsi, contrairement à la doctrine déiste, Dieu a non seulement créé l’univers, mais il y agit constamment pour le soutenir et en assurer la subsistance. C’est ce qu’on appelle la « providence de Dieu ». 


On peut comparer cela à la création musicale. Un luthier fabrique des instruments de musique. Il peut fabriquer une guitare, ou un violon. Mais s’il dépose l’un ou l’autre instrument sur la table, l’instrument ne fonctionnera pas de lui-même. Il nécessite un musicien. Si le luthier est lui-même musicien, alors il pourra faire sonner les instruments qu’il a lui-même « créés ».

Il en est de même de l’univers. Il ne suffit pas d’avoir été créé par Dieu. La Bible enseigne que c’est Dieu qui, par Jésus, soutient tout l’univers par sa force toute puissante. Il fait tout fonctionner à merveille.

« C’est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses.! »

(Romains 11.36a)

« Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. »

(Colossiens 1.17)

« et il soutient toutes choses par sa parole puissante. »

(Hébreux 1.3b)

 

Ainsi Dieu est d’une part, transcendant, il est plus grand que l’univers (son immensité),
et, d’autre part, il est présent et agit constamment dans l’univers.

Cet aspect touche au sujet qui nous préoccupe à savoir l’omniprésence divine.

 

o   Définition de l’omniprésence divine

Pour débuter, nous devons définir ce que l’on veut dire par « omniprésence divine ». Selon Wayne Grudem, l’omniprésence divine est la « [d]octrine selon laquelle Dieu n’a ni « taille » ni dimensions spatiales, étant présent en totalité en tout point de l’espace, même s’il agit différemment selon les lieux[19] ». Nous avons donc, la totalité de son être, et la totalité de l’espace. Il n’est pas partiellement présent partout, ni complètement présent à quelques endroits seulement. L’omniprésence, c’est l’infinité de Dieu dans le contexte de la spatialité. Mais puisque Dieu est dénué de corporéité (il est « esprit »), sa présence dans l’espace de l’univers ne peut être décrite sur le plan quantitatif, mais plutôt sur le plan qualitatif[20]. Il est infini dans l’espace, c’est-à-dire il est parfait dans son rapport avec la spatialité. C’est ce que Greg Nichols appelle sa « suprématie spatiale[21] ».

 

o   Fondement biblique


D’emblée, nous devons souligner le fondement biblique de la doctrine de l’omniprésence divine. Nous ne citerons que quelques passages.

Où irais-je loin de ton Esprit,

Et où fuirais-je loin de ta face?

8 Si je monte aux cieux, tu es là;

Si je me couche au séjour des morts, te voilà.

9 Si je prends les ailes de l’aurore,

Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10 Là aussi ta main me conduira,

Et ta droite me saisira.

(Ps 139.7-10)

Le psalmiste était conscient qu’il n’y avait aucun endroit dans l’univers où Dieu était absent. Pour le pécheur coupable, on ne peut fuir Dieu. Pour le pécheur pardonné et régénéré par l’Esprit de Dieu, il est en sécurité, car Dieu est présent partout pour le protéger et le réconforter.

 

Un autre passage vétérotestamentaire atteste ce concept :

Ne suis-je Dieu que de près, dit l’Éternel,
Et ne suis-je pas aussi Dieu de loin?

Quelqu’un se tiendra-t-il dans un lieu caché, Sans que je le voie? dit l’Éternel.

 Ne remplis-je pas, moi, les cieux et la terre? dit l’Éternel.

(Jé 23.23,24)

 


Yahvé est le Dieu de l’alliance. Il est le Dieu qui voit ce que profèrent les faux prophètes, ceux qui prophétisent le mensonge. Il le voit, car sa présence n’est pas limitée à quelques endroits. Il est un Dieu présent partout, qui voit tout, entend tout.  En fait il remplit les cieux et la terre. Il n’est pas un endroit dans l’univers où il n’est pas.

Herman Bavinck cite saint Augustin pour donner une application pratique de la doctrine de l’omniprésence divine :

Lorsque vous projetez de faire quelque chose de mal, vous vous éloignez de la foule et vous vous retirez chez vous, là où personne ne peut vous apercevoir; vous évitez les endroits de votre maison qui sont visibles de l’extérieur et vous vous retirez dans votre chambre : même une fois dans votre chambre vous craignez d’être vu par un témoin invisible; vous vous retirez profondément en vous-même, et vous méditez : ce témoin invisible est là au plus profond de votre être. Par conséquent, où que vous alliez, il est là. Où allez-vous fuir loin de vous-même? Votre être intérieur ne va-t-il pas vous suivre où que vous vous enfuyiez? Mais parce qu’un témoin invisible se cache au plus profond de votre être, il n’existe aucun lieu où vous puissiez échapper à la colère de Dieu. Il n’existe vraiment aucun lieu où vous puissiez fuir. Allez-vous donc fuir loin de lui? Fuyez plutôt vers lui[22].

 

o   Réflexion théologique

Nous avons brossé un tableau général du concept de l’omniprésence divine. Bien des aspects n’ont pas été abordés, dont les différents modes de présence divine. Le format de cet article ne nous permet pas de le faire. L’aspect théologique que je désire aborder maintenant est celui-ci : les limites matérielles qui ne sont pas applicables à Dieu qui est esprit[23].

Lorsque nous affirmons que Dieu est présent partout, il est facile de nous imaginer Dieu présent dans un espace libre : soit dans l’air, soit dans l’eau, mais il nous apparaît difficile de nous imaginer Dieu présent dans la matière solide, par exemple, dans la table, dans la roche. Pourquoi est-ce difficile?

a)     Parce que nous imposons inconsciemment à Dieu des limites physiques, matérielles auxquelles nous sommes nous-mêmes contraints, nous qui sommes des êtres faits de chair et d’os. Il nous faut toutefois nous rappeler que Dieu est esprit et qu’il n’a pas de corps comme nous. Il ne peut être limité ni par la spatialité ni par la matérialité de sa création sous quelque forme qu’elle soit : gazeuse, liquide ou solide[24].

b)    Un autre élément notionnel qui nous freine dans notre acceptation de l’omniprésence omnimatérielle de Dieu, c’est la crainte de sombrer dans le panthéisme. On se dit inconsciemment : « Dieu ne peut être présent dans cette roche! Accepter une telle idée équivaudrait à du panthéisme, une divinisation de la roche! »

 

Je vais répondre à cette objection de la façon suivante :

-         Il ne faut pas confondre le mode de présence divine propre au panthéisme (oriental ou occidental) avec le mode de présence divine propre au théisme biblique.  Comme l’a bien fait remarquer le théologien baptiste Augustus H. Strong (dans son volume Systematic Theology), dans le théisme chrétien, la présence de Dieu dans l’univers est une présence libre où Dieu n’est pas lié ni identifié à sa création. En revanche, dans le panthéisme, l’univers est identifié à Dieu, la présence de Dieu dans sa création est une présence nécessaire[25].

-         Prenons l’exemple de l’automobile. Je vais prendre place dans mon automobile, mais ma présence est une présence libre. Je suis libre d’en


sortir à ma guise. Je ne fais pas partie de mon véhicule, même si je suis dans celui-ci. Ce n’est pas une présence nécessaire. En revanche, le volant ou le miroir font partie de l’automobile.

 

 

-         Il en est ainsi de la relation de Dieu avec l’univers et chacune de ses parties, quelles qu’elles soient. Il est présent en toutes ses parties sans aucune limitation physique ou matérielle. Mais il s’agit d’une présence libre. Il n’est pas confiné ni enclos dans l’univers. Il le pénètre en tout et partout, et il en déborde, car il est à la fois transcendant et immanent.

 

Le regretté Pierre C. Marcel, fondateur de la Revue réformée,  a bien exprimé ce principe mutatis mutandis, en discutant de la réalité visible et de la réalité invisible :

 

La Bible nous dit que Dieu a placé et maintient la réalité visible dans la réalité invisible; que le monde visible ne peut exister en dehors du monde invisible qui le pénètre de toute part, et où il est immergé. L’interpénétration, la complémentarité de ces deux réalités nous apportent la clé de l’interprétation de la Révélation, de ses signes (ou miracles), de la présence réelle du Christ, du mystère de la vie et de l’intelligibilité scientifique du monde[26].

 

D’après le contexte, Pierre Marcel parle de Dieu en se référant à la réalité invisible. Il y a bien sûr une réalité créée invisible (les anges), mais c’est Dieu qui pénètre de sa présence toute la réalité visible.   

 

CONCLUSION

Dans ces deux articles intitulés « Suppléments thématiques : Quelques thèmes marquants », j’ai tenté d’exposer les thèmes bibliques qui ont le plus occupé ma pensée : 1. La gratuité et l’assurance du salut, 2. La grâce efficace et irrésistible, et dans la présente section, 3. Le         théisme biblique et autres approches sur l’omniprésence divine.





Comme je l’avais énoncé au tout début de cette série, après ma conversion à Jésus-Christ, le Seigneur m’a mené vers Carole qui est devenue mon épouse et ensemble, le Seigneur nous a donné trois fils que nous aimons : Emmanuel, Jean-Benoit et Georges-Étienne. Jean-Benoit et Tania, son épouse, nous ont donné un
petit-fils, Orion qui a maintenant 7 ans et dont nous sommes des plus fiers.

Le Seigneur a permis que je poursuive mes études à l’université et m’a accordé la grâce de pouvoir travailler comme pasteur quelques années à Gatineau (Aylmer), tout en gagnant ma vie comme traducteur à Ottawa.


Lorsque je jette un regard rétrospectif sur ces 50 années, je ne peux qu’être reconnaissant à mon Dieu pour sa miséricorde à mon égard, et pour le bonheur de le servir quoique bien imparfaitement.

Mon vœu et ma prière, c’est que plusieurs de ceux qui liront ces lignes répondront eux aussi à l’appel de Jésus qui a dit :

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.

 Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez le repos pour vos âmes. 

 Car mon joug est doux, et mon fardeau léger.

(Matthieu 11.28-30)

 

Écoutons la voix du bon Berger, et venons à lui pour un plein pardon, une pleine réconciliation avec Dieu.

Car vous étiez comme des brebis errantes.

Mais maintenant vous êtes retournés vers le berger

et le gardien de vos âmes.

(1 Pi 2.25)

 

 

 

 



 

Rétrospective en photos

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[1] Didier Julia (dir.), Dictionnaire de la philosophie, Paris, Larousse, 1997, p. 176; Michel Blay (dir.), «Monisme», dans Grand dictionnaire de la philosophie, Paris, Larousse, 2012, p. 685-688.

[3] Michel Blay, «Positivisme», dans Grand dictionnaire de la philosophie, p. 834-835; Didier Julia (dir.), Dictionnaire de la philosophie, Paris, Larousse, 1997, p. 166; Emmanuel Pourgeoise et Jean-Michel Ridou (dir.), «Science et philosophie : Le positivisme», dans Panorama de la philosophie, Alleur, Marabout. 1996, 548-551.

[4] Michel Blay, «Atomisme», dans Grand dictionnaire de la philosophie, p. 75-77.

[5] Michel Blay, «Naturalisme», dans Grand dictionnaire de la philosophie, p. 704.

[6] Michel Blay, «Athéisme», dans Grand dictionnaire de la philosophie, p. 74-75.

[7] Michel Blay,» Désenchantement du monde», dans Grand dictionnaire de la philosophie, p. 264-265.

[9] Stanley J. Grenz, David Guretzki et Cherith Fee Nordling, Pocket Dictionary of Theological Terms, InterVarsity Press, Downers Grove, 1999, p. 88.

[11] James W. Sire, The Universe Next Door : A basic world view catalogue, Downers Grove, InterVarsity Press, 1978, p. 132-133.

[12] Clara da Sylva-Charrak, «Dualisme», dans Grand dictionnaire de la philosophie, sous dir. Michel Blay, p. 314.

[13] S.N. Williams, « Deism », dans New Dictionary of Theology, Downers Grove, InterVarsity Press, 1988, p. 190.

[14] Sur le théisme, voir Gerald Bray, La doctrine de Dieu, Cléon D’Andran, Éditions Excelsis, «Collection théologie», 2001, p. 38-48; James W. Sire, The Universe Next Door : A basic world view catalogue, Downers Grove, InterVarsity Press, 1978, ch. 2 : « A Universe charged with the Grandeur of God : Christian Theism », p. 20-42.

[15] Paul Wells, «Dieu et le changement – Jürgen Moltman à la lumière du théisme réformé», dans Hokhma, no 43, 1990, p. 49-66.

[16] Ibid., p. 49. Auguste Lecerf, restaurateur du calvinisme en France, au début du 20e siècle,  a discuté amplement du calvinisme comme forme cohérente du théisme. Voir Auguste Lecerf, Introduction à la dogmatique réformée, Paris : Éditions Je sers, 1938, p. 8s. Il affirme que  « le calvinisme est un théisme conséquent », Ibid., p. 59; Idem, « Souveraineté divine et liberté créée », Études calvinistes :   https://www.ressourceschretiennes.com/files/pub/articles/20170121%20-%20Auguste%20Lecerf%20-%20Souverainet%C3%A9%20divine%20et%20libert%C3%A9%20cr%C3%A9%C3%A9e.pdf

 

[18] Richard A. Muller, Post-Reformation Reformed Dogmatics, Vol. Three: The Divine Essence and Attributes, Grand Rapids, Baker Academics, 2003, p. 343; il cite saint Augustin.

[20] Herman Bavinck, Reformed Dogmatics, Vol. 2,  God and Creation, Grand Rapids, Baker Academics, 2004, p. 160. Voir aussi Richard A. Muller, Post-Reformation Reformed Dogmatics, Vol. Three: The Divine Essence and Attributes, Grand Rapids, Baker Academics, 2003, p. 343.

[21] Greg Nichols, Lectures in Systematic Theology, Grand Rapids, Grace Immanuel Reformed Baptist Church, 2017, p. 223-232.

[22] Wayne Grudem, Théologie systématique, Charols, Éditions Excelsis, 2007,  p. 176, citant Herman Bavinck, Reformed Dogmatics, Vol. 2,  God and Creation, Grand Rapids, Baker Academics, 2004, p. 170.

[23] Greg Nichols, Lectures in Systematic Theology, op.cit., p. 224s.

[24] Ibid, p. 224.

[25] Augustus H. Strong, Systematic Theology,Valley Forge, Judson Press, 1993, p. 282. Voir aussi Richard A. Muller, Post-Reformation Reformed Dogmatics, Vol. Three: The Divine Essence and Attributes, Grand Rapids, Baker Academics, 2003, p. 338.

[26] Pierre C. Marcel, Face à la critique : Jésus et les apôtres : Esquisse d’une logique chrétienne, Genève/ Aix-en-Provence, Labor et Fides, La Revue réformée, 1986, p. 109.

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