CINQUANTIÈME ANNIVERSAIRE DE CONVERSION (1975-2025) – « UN PETIT DÉBUT DE VIE ÉTERNELLE » SUPPLÉMENT THÉMATIQUE : QUELQUES THÈMES MARQUANTS (B) 3. Théisme biblique et autres approches sur l’omniprésence divine
POUR LA PINARDIÈRE
CINQUANTIÈME ANNIVERSAIRE DE CONVERSION (1975-2025)
– « UN PETIT DÉBUT DE VIE
ÉTERNELLE »
SUPPLÉMENT THÉMATIQUE : QUELQUES THÈMES MARQUANTS (B)
3. Théisme biblique et autres approches sur l’omniprésence
divine
toujours suscité en moi un intérêt et un émerveillement accrus. Or, quand en septembre 1975, j’ai découvert le Créateur et sa révélation biblique, j’ai été fasciné par la beauté de la création, ayant escaladé le Mont Orford, le 20 septembre, au tout début de ma vie nouvelle avec le Christ.
L’enseignement biblique
relatif à la relation du rapport de Dieu avec l’univers, entre le Créateur et
sa création, a occupé ma réflexion au cours de mes 50 années de vie
croyante. Dans la présente section, je vais tenter de résumer les principales
approches qui tentent d’expliquer ce rapport en soulignant leurs distinctions,
les unes par rapport aux autres, puis finalement montrer en quoi le théisme
biblique vient répondre de manière adéquate à notre questionnement sur la
relation entre Dieu et l’univers.
Ce survol n’est que sommaire
et ne constitue d’aucune façon un traitement détaillé de chaque approche.
v
Le monisme
Le terme « monisme » renvoie à ce système de pensée
qui réduit toute la réalité en une seule « substance », contrairement au
dualisme qui oppose, dans le monde, deux principes (nature et esprit, bien et
mal, Ying et Yang, etc.). Il y a des monismes matérialistes et des monismes
panthéistes [1].
o
Le monisme matérialiste
Le terme « matérialisme » est utilisé la plupart du
temps , dans le langage de tous les jours, pour renvoyer à l’attachement aux
choses matérielles. On appelle cela le
matérialisme pratique, rattaché à l’éthique. Ici je vais utiliser le terme
« matérialisme » au sens philosophique. Le matérialisme
philosophique affirme que la réalité se résume à la matière[2]. Il s’agit
d’une sorte de monisme où la réalité n’est réduite qu’à ce qui est matériel. Il
n’y a aucune réalité spirituelle ou transcendante. Cette philosophie se
rapproche d’autres
courants connexes : à savoir le positivisme[3],
l’atomisme[4],
le naturalisme[5]
et l’athéisme[6].
Dites-moi, y a-t-il place à l’émerveillement avec une philosophie matérialiste,
positiviste, atomiste et athée? Je ne crois pas. Avec la popularisation de ces
philosophies réductionnistes au cours des derniers siècles, on a assisté au « désenchantement
du monde[7] »,
c’est-à-dire, qu’il n’y a plus de place à l’intervention du surnaturel, du
transcendant. Le monde est devenu un « système clos » comme l’exprimait le
philosophe Francis A. Schaeffer[8].
o
Le monisme
panthéiste
Le second type principal de monisme est rattaché au
panthéisme. Le panthéisme est cette vision du monde où la réalité est conçue comme étant une,
mais non pas comme matière, mais comme esprit. Tout est Dieu, rien n’existe en
dehors de lui. Tout ce qui existe est Dieu[9]
et si autre chose semble exister[10],
alors c’est une illusion[11].
Il ne faut pas faire de distinction, car toutes choses sont fondamentalement « une ».
Il n’y a aucune distinction entre Dieu et le monde. Nous savons que, depuis les
années 60, avec l’influence de la mondialisation et des échanges
culturels, les religions orientales ont été diffusées en occident (méditation
transcendantale, bouddhisme, etc.), et la vision du monde que véhiculent
celles-ci ainsi que les médecines douces et pratiques psychocorporelles (yoga,
méditation).
Le « dualisme » se définit comme un système
religieux ou philosophique qui a recours à « deux principes hétérogènes [12]». À la
base, la philosophie de Platon en Grèce était dualiste ainsi que celle
d’Aristote. Le taoïsme chinois est dualiste (Ying-Yang), tout comme le
mazdéisme (religion ancienne de la Perse) avec l’opposition fondamentale des
principes du bien et du mal qui fonde sa cosmologie. Des éléments dualistes se
retrouvent aussi dans l’hindouisme. Le mouvement gnostique était une hérésie issue
du christianisme. Ses adeptes étaient dualistes, et opposaient l’esprit et la
matière.
v
Le déisme
Une autre approche
religieuse est celle du déisme. Le déisme s’est développé principalement vers
la fin du 17e siècle sous l’impulsion du rationalisme [13].
Il ne faut pas confondre « déisme » et « théisme ». Le déisme enseigne que Dieu
a donné l’existence à l’univers, mais qu’il n’intervient pas dans son
fonctionnement, contrairement au théisme qui enseigne que Dieu intervient dans
sa création après lui avoir donné l’existence (la doctrine de la providence).
Ainsi, dans le déisme, est accentuée la transcendance de Dieu – le fait qu’il est au-dessus de la création – au
détriment de son immanence (Dieu dans la création). Par contre, il est présent
dans sa création par les lois qu’il a établies. Il s’agit d’un accent différent
de celui du panthéisme. Alors que le panthéisme ne distingue pas Dieu de sa
création, le déisme exacerbe la distance entre Dieu et sa création. En fait,
cette distance est une séparation.
v
Le théisme
biblique et l’omniprésence divine
biblique. Le terme « théisme » se définit[14] comme l’approche biblique selon laquelle Dieu est le Créateur du cosmos (l’univers et son contenu), et il lui est transcendant et immanent. Il est un Dieu personnel, en ce sens qu’il est doué de personnalité. Comme le disait Francis A. Schaeffer, Dieu est infini et personnel, voire tripersonnel. Pour moi, le théisme biblique s’exprime le mieux par ce qu’on appelle le « théisme classique[15] » ou « théisme réformé[16] ».
Dire que Dieu est
transcendant, par rapport à la création, c’est affirmer qu’il est si grand
qu’il est au-delà de la création : il est « plus grand[17] » que
celle-ci.
Mais quoi! Dieu habiterait-il véritablement avec
l’homme sur la terre?
Voici, les cieux et les cieux des cieux ne
peuvent te contenir :
combien moins cette maison que j’ai bâtie!
(2 Ch 6.18)
On peut comparer cela à la création musicale. Un luthier fabrique des instruments de musique. Il peut fabriquer une guitare, ou un violon. Mais s’il dépose l’un ou l’autre instrument sur la table, l’instrument ne fonctionnera pas de lui-même. Il nécessite un musicien. Si le luthier est lui-même musicien, alors il pourra faire sonner les instruments qu’il a lui-même « créés ».
Il en est de même de l’univers. Il ne suffit pas
d’avoir été créé par Dieu. La Bible enseigne que c’est Dieu qui, par Jésus,
soutient tout l’univers par sa force toute puissante. Il fait tout fonctionner
à merveille.
« C’est
de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses.! »
(Romains 11.36a)
« Il est avant toutes choses, et toutes choses
subsistent en lui. »
(Colossiens 1.17)
« et il soutient toutes choses par sa
parole puissante. »
(Hébreux 1.3b)
et, d’autre part, il est présent et agit constamment dans l’univers.
Cet aspect touche au sujet
qui nous préoccupe à savoir l’omniprésence divine.
o
Définition de
l’omniprésence divine
Pour débuter, nous devons
définir ce que l’on veut dire par « omniprésence divine ». Selon Wayne Grudem,
l’omniprésence divine est la « [d]octrine selon laquelle Dieu n’a ni
« taille » ni dimensions spatiales, étant présent en totalité en tout
point de l’espace, même s’il agit différemment selon les lieux[19] ».
Nous avons donc, la totalité de son
être, et la totalité de l’espace. Il
n’est pas partiellement présent partout, ni complètement présent à quelques
endroits seulement. L’omniprésence, c’est l’infinité de Dieu dans le contexte
de la spatialité. Mais puisque Dieu est dénué de corporéité (il est « esprit »),
sa présence dans l’espace de l’univers ne peut être décrite sur le plan
quantitatif, mais plutôt sur le plan qualitatif[20].
Il est infini dans l’espace, c’est-à-dire il est parfait dans son rapport avec
la spatialité. C’est ce que Greg Nichols appelle sa « suprématie spatiale[21] ».
o
Fondement
biblique
D’emblée, nous devons souligner le fondement biblique de la doctrine de l’omniprésence divine. Nous ne citerons que quelques passages.
Où irais-je loin de ton Esprit,
Et où fuirais-je loin de ta face?
8 Si je monte aux cieux, tu es là;
Si je me couche au séjour des morts, te voilà.
9 Si je prends les ailes de l’aurore,
Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,
10 Là aussi ta main me conduira,
Et ta droite me saisira.
(Ps 139.7-10)
Le psalmiste était conscient
qu’il n’y avait aucun endroit dans l’univers où Dieu était absent. Pour le
pécheur coupable, on ne peut fuir Dieu. Pour le pécheur pardonné et régénéré
par l’Esprit de Dieu, il est en sécurité, car Dieu est présent partout pour le
protéger et le réconforter.
Un autre passage
vétérotestamentaire atteste ce concept :
Ne
suis-je Dieu que de près, dit l’Éternel,
Et ne suis-je pas aussi Dieu de
loin?
Quelqu’un se tiendra-t-il dans un lieu caché,
Sans que je le voie? dit l’Éternel.
Ne remplis-je pas, moi, les cieux et la terre? dit
l’Éternel.
(Jé 23.23,24)
Yahvé est
le Dieu de l’alliance. Il est le Dieu qui voit ce que profèrent les faux
prophètes, ceux qui prophétisent le mensonge. Il le voit, car sa présence n’est
pas limitée à quelques endroits. Il est un Dieu présent partout, qui voit tout,
entend tout. En fait il remplit les
cieux et la terre. Il n’est pas un endroit dans l’univers où il n’est pas.
Herman Bavinck cite saint Augustin pour donner une
application pratique de la doctrine de l’omniprésence divine :
Lorsque
vous projetez de faire quelque chose de mal, vous vous éloignez de la foule et vous vous retirez chez vous, là où
personne ne peut vous apercevoir; vous évitez les endroits de votre maison qui
sont visibles de l’extérieur et vous vous retirez dans votre chambre :
même une fois dans votre chambre vous craignez d’être vu par un témoin
invisible; vous vous retirez profondément en vous-même, et vous méditez :
ce témoin invisible est là au plus profond de votre être. Par conséquent, où
que vous alliez, il est là. Où allez-vous fuir loin de vous-même? Votre être
intérieur ne va-t-il pas vous suivre où que vous vous enfuyiez? Mais parce
qu’un témoin invisible se cache au plus profond de votre être, il n’existe
aucun lieu où vous puissiez échapper à la colère de Dieu. Il n’existe vraiment
aucun lieu où vous puissiez fuir. Allez-vous donc fuir loin de lui? Fuyez
plutôt vers lui[22].
o
Réflexion
théologique
Nous avons brossé un tableau
général du concept de l’omniprésence divine. Bien des aspects n’ont pas été
abordés, dont les différents modes de présence divine. Le format de cet article
ne nous permet pas de le faire. L’aspect théologique que je désire aborder
maintenant est celui-ci : les limites matérielles qui ne sont pas
applicables à Dieu qui est esprit[23].
Lorsque nous affirmons que
Dieu est présent partout, il est facile de nous imaginer Dieu présent dans un
espace libre : soit dans l’air, soit dans l’eau, mais il nous apparaît
difficile de nous imaginer Dieu présent dans la matière solide, par exemple,
dans la table, dans la roche. Pourquoi est-ce difficile?
a) Parce que nous imposons inconsciemment à Dieu des limites physiques, matérielles auxquelles nous sommes nous-mêmes contraints, nous qui sommes des êtres faits de chair et d’os. Il nous faut toutefois nous rappeler que Dieu est esprit et qu’il n’a pas de corps comme nous. Il ne peut être limité ni par la spatialité ni par la matérialité de sa création sous quelque forme qu’elle soit : gazeuse, liquide ou solide[24].
b)
Un autre élément notionnel qui nous freine dans notre acceptation de
l’omniprésence omnimatérielle de Dieu, c’est la crainte de sombrer dans le
panthéisme. On se dit inconsciemment : « Dieu ne peut être présent dans
cette roche! Accepter une telle idée équivaudrait à du panthéisme, une
divinisation de la roche! »
Je vais répondre à cette objection de la façon suivante :
- Il ne faut pas confondre le mode de présence divine propre au panthéisme (oriental ou occidental) avec le mode de présence divine propre au théisme biblique. Comme l’a bien fait remarquer le théologien baptiste Augustus H. Strong (dans son volume Systematic Theology), dans le théisme chrétien, la présence de Dieu dans l’univers est une présence libre où Dieu n’est pas lié ni identifié à sa création. En revanche, dans le panthéisme, l’univers est identifié à Dieu, la présence de Dieu dans sa création est une présence nécessaire[25].
-
sortir à ma guise. Je ne fais pas partie de mon véhicule, même si je suis dans celui-ci. Ce n’est pas une présence nécessaire. En revanche, le volant ou le miroir font partie de l’automobile.
-
Il en est ainsi de la relation de Dieu avec l’univers et chacune de ses
parties, quelles qu’elles soient. Il est présent en toutes ses parties sans
aucune limitation physique ou matérielle. Mais il s’agit d’une présence libre. Il n’est pas confiné ni
enclos dans l’univers. Il le pénètre en tout et partout, et il en déborde, car
il est à la fois transcendant et immanent.
Le regretté Pierre C.
Marcel, fondateur de la Revue réformée,
a bien exprimé ce principe mutatis mutandis, en discutant de la
réalité visible et de la réalité invisible :
La Bible nous dit que Dieu a placé et maintient la
réalité visible dans la réalité
invisible; que le monde visible ne peut exister en dehors du monde invisible qui le pénètre de toute part, et où il
est immergé. L’interpénétration, la complémentarité de ces deux réalités nous
apportent la clé de l’interprétation de la Révélation, de ses signes (ou
miracles), de la présence réelle du Christ, du mystère de la vie et de
l’intelligibilité scientifique du monde[26].
D’après le contexte, Pierre
Marcel parle de Dieu en se référant à la réalité invisible. Il y a bien sûr une
réalité créée invisible (les anges), mais c’est Dieu qui pénètre de sa présence
toute la réalité visible.
CONCLUSION
Dans ces deux articles intitulés « Suppléments thématiques : Quelques thèmes marquants », j’ai tenté d’exposer les thèmes bibliques qui ont le plus occupé ma pensée : 1. La gratuité et l’assurance du salut, 2. La grâce efficace et irrésistible, et dans la présente section, 3. Le théisme biblique et autres approches sur l’omniprésence divine.
petit-fils, Orion qui a maintenant 7 ans et
dont nous sommes des plus fiers.
Lorsque je jette un regard rétrospectif sur ces 50 années, je ne peux qu’être reconnaissant à mon Dieu pour sa miséricorde à mon égard, et pour le bonheur de le servir quoique bien imparfaitement.
Mon vœu et ma prière, c’est
que plusieurs de ceux qui liront ces lignes répondront eux aussi à l’appel de
Jésus qui a dit :
Venez à
moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.
Prenez mon joug sur vous et recevez mes
instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez le repos
pour vos âmes.
Car mon
joug est doux, et mon fardeau léger.
(Matthieu 11.28-30)
Écoutons la voix du bon
Berger, et venons à lui pour un plein pardon, une pleine réconciliation avec
Dieu.
Car vous étiez comme des brebis errantes.
Mais maintenant vous êtes retournés vers le
berger
et le gardien de vos âmes.
(1 Pi 2.25)
Rétrospective en photos
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Vous pouvez consulter les autres articles de ce blogue! 😊
[1]
Didier Julia (dir.), Dictionnaire de la
philosophie, Paris, Larousse, 1997, p. 176; Michel Blay (dir.), « Monisme », dans Grand
dictionnaire de la philosophie, Paris, Larousse, 2012, p. 685-688.
[2]
Michel Blay (dir.), « Matérialisme »,
dans Grand dictionnaire de la
philosophie, Paris, Larousse, 2012, p. 650-653; Didier
Julia (dir.), Dictionnaire de la
philosophie, Paris, Larousse, 1997, p. 166. Je remercie le professeur Paul Wells, ancien éditeur de la Revue Réformée et professeur retraité de théologie systématique de la Faculté Jean Calvin (anciennement Faculté libre de théologie réformée d'Aix-en-Provence) d'avoir relu la présente section (7e section) de mon article-témoignage.
[3]
Michel Blay, « Positivisme », dans Grand dictionnaire de la philosophie, p. 834-835;
Didier Julia (dir.), Dictionnaire de la
philosophie, Paris, Larousse, 1997, p. 166; Emmanuel Pourgeoise et
Jean-Michel Ridou (dir.), « Science et philosophie : Le
positivisme », dans Panorama de la philosophie, Alleur,
Marabout. 1996, 548-551.
[4]
Michel Blay, « Atomisme », dans Grand
dictionnaire de la philosophie, p. 75-77.
[5]
Michel Blay, « Naturalisme », dans Grand dictionnaire de la philosophie, p. 704.
[6]
Michel Blay, « Athéisme »,
dans Grand dictionnaire de la
philosophie, p. 74-75.
[7]
Michel Blay, » Désenchantement du monde »,
dans Grand dictionnaire de la
philosophie, p. 264-265.
[8]
Francis A. Schaeffer, https://promesses.org/le-combat-de-francis-schaeffer/.
[9]
Stanley J. Grenz, David Guretzki et Cherith Fee Nordling, Pocket Dictionary of Theological Terms, InterVarsity Press, Downers
Grove, 1999, p. 88.
[10]
Aaron Kayayan, « Théisme ou panthéisme » https://www.ressourceschretiennes.com/article/th%C3%A9isme-ou-panth%C3%A9isme.
[11] James W. Sire, The Universe Next Door : A basic world view catalogue, Downers
Grove, InterVarsity Press, 1978, p. 132-133.
[12]
Clara da Sylva-Charrak, « Dualisme », dans Grand dictionnaire de la philosophie,
sous dir. Michel Blay, p. 314.
[13]
S.N. Williams, « Deism », dans New
Dictionary of Theology, Downers Grove, InterVarsity Press, 1988, p. 190.
[14]
Sur le théisme, voir Gerald Bray, La
doctrine de Dieu, Cléon D’Andran, Éditions Excelsis, « Collection théologie », 2001, p. 38-48; James W.
Sire, The Universe Next Door : A
basic world view catalogue, Downers Grove, InterVarsity Press, 1978, ch. 2
: « A Universe charged with the Grandeur of God : Christian Theism », p. 20-42.
[15]
Paul Wells, « Dieu et le changement – Jürgen
Moltman à la lumière du théisme réformé », dans Hokhma, no 43, 1990, p. 49-66.
[16]
Ibid., p. 49. Auguste Lecerf,
restaurateur du calvinisme en France, au début du 20e siècle, a discuté amplement du calvinisme comme forme
cohérente du théisme. Voir Auguste
Lecerf, Introduction à la dogmatique
réformée, Paris : Éditions Je sers, 1938, p. 8s. Il affirme que « le calvinisme est un théisme
conséquent », Ibid., p. 59; Idem, « Souveraineté divine et
liberté créée », Études calvinistes : https://www.ressourceschretiennes.com/files/pub/articles/20170121%20-%20Auguste%20Lecerf%20-%20Souverainet%C3%A9%20divine%20et%20libert%C3%A9%20cr%C3%A9%C3%A9e.pdf
[17]
Wayne Grudem, Théologie
systématique, Charols, Éditions Excelsis, 2007, p. 277; James W. Sire,
The Universe Next Door : A basic
world view catalogue, Downers Grove, InterVarsity Press, 1978, ch. 2 : « A
Universe charged with the Grandeur of God : Christian Theism », p. 20-42.
[18]
Richard A. Muller, Post-Reformation
Reformed Dogmatics, Vol. Three: The
Divine Essence and Attributes, Grand Rapids, Baker Academics, 2003, p. 343;
il cite saint Augustin.
[20]
Herman Bavinck, Reformed Dogmatics, Vol.
2, God and Creation, Grand Rapids,
Baker Academics, 2004, p. 160. Voir aussi Richard A. Muller, Post-Reformation Reformed Dogmatics, Vol. Three: The Divine Essence and
Attributes, Grand Rapids, Baker Academics, 2003, p. 343.
[21]
Greg Nichols, Lectures in Systematic
Theology, Grand Rapids, Grace Immanuel Reformed Baptist Church, 2017, p.
223-232.
[22]
Wayne Grudem, Théologie systématique,
Charols, Éditions Excelsis, 2007, p.
176, citant Herman Bavinck, Reformed
Dogmatics, Vol. 2, God and Creation, Grand Rapids, Baker
Academics, 2004, p. 170.
[23]
Greg Nichols, Lectures in Systematic
Theology, op.cit., p. 224s.
[24]
Ibid, p. 224.
[25]
Augustus H. Strong, Systematic Theology,Valley
Forge, Judson Press, 1993, p. 282. Voir aussi Richard A. Muller, Post-Reformation Reformed Dogmatics, Vol. Three: The Divine Essence and
Attributes, Grand Rapids, Baker Academics, 2003, p. 338.
[26]
Pierre C. Marcel, Face à la
critique : Jésus et les apôtres : Esquisse d’une logique chrétienne,
Genève/ Aix-en-Provence, Labor et Fides, La Revue réformée, 1986, p. 109.

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